L'environnement, les lieux de vie, le sous sol.. l'impact positif ou négatif sur le corps et l'esprit.
Par mon métier dans l’immobilier agent immobilier puis expert immobilier, et mes nombreuses visites de maisons ou de terrains, j’ai compris avec le temps que je pouvais apporter du conseil,
Une orientation différente de futurs constructions, ou un signalement sur l’implantation des chambres et plus particulièrement des lits.
De cette expérience professionnelle de 20 ans, j’ai constaté que certaines maisons avaient une influence directe très forte sur la santé, sur le moral, sur le bonheur, sur la chance de leurs habitants.
Ensuite, j’ai cherché des explications raisonnables à ce phénomène surprenant : comment et pourquoi des matériaux inertes, assemblés avec ou sans art sur un terrain donné, peuvent-ils avoir une action aussi puissante sur le comportement et le devenir d’êtres vivants ?
Finalement, je suis arrivé, à la conviction que la santé d’une maison son innocuité pour l’habitant dépend du terrain sur lequel elle est implantée, des matériaux dont elle est faite, et enfin des souvenirs enregistrés par la mémoire des murs.
Denis Tainturier
Issu du monde rural, mes parents et grands-parents étaient agriculteurs en Bourgogne à 35 km de DIJON, de cette situation, j’ai toujours vécu à la campagne.
Après des études dans l’agriculture j’ai obtenu un Brevet de technicien agricole dans le Jura, ou j’imaginais reprendre l’exploitation familiale.
Proche de mes grands-parents, j’étais souvent avec eux, habitant à proximité de notre maison.
Mon grand-père était sourcier du canton et souvent sollicité pour la recherche d’eau de puits dans le principal objectif de donner de l’eau aux bétails dans les pâturages de la région.
Egalement sollicité de mémoire d’enfant par des éleveurs de la région lors de la perte de bétail, avec une carte communale et son pendule, il leur permettait de les localiser.
Depuis tout jeune, j’avais plaisir à l’accompagner dans cette démarche, son pendule, simplement un boulon accroché à un morceau de ficelle.
Concernant la profondeur, par mètre il ajoutait un petit caillou dans son autre main; souvent de mémoire, la profondeur pour trouver de l’eau dans ce secteur était entre 6 à 12 mètres.